L’été sort de du tombeau que l’Hiver a rempli.
Jos. Parker
Dans les bois attristésplus de chant ni d’ombrages,
Plus d’abris transparents dans les buissons déserts,
plus de fleurs aux sentiers des bosquets jadis verts ;
C’est la la brume hivernale et ses cinglants outrages.
de son livre éternel, le temps tourne les pages ;
Une centaine encor flagelleront les airs,
Puis naîtra le Printemps aux charmes si divers,
Egrenant sur ses pas d"harmonieux mirages.
Avril raménera les jours ensoleillés,
Les rameaux verdissants, pleins d’espoirs réveillés,
précurseurs des beaux soirs et du cri des cigales.
Et ns Rosiers frileux, sous le sol engourdis,
Etaleront aussi des splendeurs sans égales,
Dont l’aube aspirera les parfums attièdis.